‘ Le plus mauvais des hommes n’est pas encore né’. On peut lire cette phrase dans le livre de Ferdinand Ossendowski Bêtes, hommes et dieux qui fut publié en 1922. Si, à ce temps-là, le plus mauvais des hommes n’était pas encore venu au monde, on a l’impression qu’au début du XXIe siècle, non seulement les hommes les plus méchants soient déjà nés, mais qu’en plus, ils soient en pleine manifestation de leurs pouvoirs sataniques, comme on peut le constater grâce aux abominables développements du mondialisme… Dans cette perspective, relire le classique d’Ossendowski n’est pas simplement un exercice d’érudition ; ce livre peut encore aujourd’hui nous offrir des indications utiles pour interpréter de manière ésotérique les événements contemporains. Le récent essai de Louis de Maistre Dans les coulisses de l’Agartha est une étude approfondie sur l’auteur polonais et sur son extraordinaire aventure en Asie. Le livre de de Maistre est un support valide pour revivre le...
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